26 Septembre 2017
Ressentons-nous un serrement de cœur pour ceux qui périssent ?
Le glas de toutes ces personnes qui meurent chaque minute sans Christ change-t-il notre rosée en sécheresse, nous retire-t-il notre vêtement de louange, ou abat-il notre esprit ?
Pouvons-nous, en cet instant, lever les yeux vers le Dieu vivant (car lui baisse les siens sur nous) et nous écrier : « Malheur à moi si je n’annonce pas l’Évangile » ? [1 Corinthiens 9.16]
Leonard RAVENHILL